Série photos : la Défense





La photo, une nouvelle forme d'expression
En plus de l’écriture, je découvre depuis deux ans la photographie. J’ai d’abord commencé avec un très vieux bridge numérique, le Pentax x90, pour me faire la main avant d’enchainer sur mon appareil photo actuel, un Panasonic dc-fz82ef-k (à vos souhaits). La photo représente ainsi une nouvelle forme d’expression, que j’ai envie d’explorer davantage !
Comme je me balade souvent du côté de la Défense et que le quartier regorge de choses intéressantes, j’ai décidé de vous montrer une première série d’images prises dans la zone.
La Défense ou la poésie du béton
Dans l’ordre on peut donc voir : la Grande Arche de la Défense durant un coucher de soleil estival, l’un des signaux de Takis à l’entrée de l’Esplanade de la Défense, le « Icare » d’Igor Mitoraj au pied de la tour Égée, une tour de bureaux que l’on aperçoit depuis l’île du Pont entre Neuilly-sur-Seine et Puteaux et enfin le » Toscano » (également d’Igor Mitoraj).
On se rend assez vite compte du côté galerie à ciel ouvert de l’endroit, malgré sa forte symbolique capitaliste ! J’ai toujours adoré ce contraste entre des œuvres ou des scènes saisissantes d’un côté et la dimension écrasante des gratte-ciel remplis à ras bord de bureaux moroses de l’autre.
Un peu d'histoire
Pour la petite histoire : la Grande Arche, dont la construction date de 1989, complète ce qu’on appelle la » voie royale « . Cet axe, qui date du XVIIe siècle, débute au Louvre avec la statue équestre de Louis XVI et se termine à l’avenue de la Grande-Armée. Ainsi, l’arche s’inscrit directement dans son prolongement.
Le bassin de Takis, planté de ses fameux signaux lumineux, a quant à lui été installé en 1991. La statue d’Icare trône fièrement dans le quartier depuis 1999, tandis que le » Toscano » se dresse en bas de la tour Areva. Bref, d’autres photos suivront celles-ci. En plus, certaines me servent à écrire des photopoèmes !